“À la baguette, l’actuel directeur musical de l’Opéra de Lyon Daniele Rustioni fait une nouvelle démonstration de son art, assurant la constante qualité du discours musical et un équilibre confortable entre fosse et plateau. La technique de cette difficile partition est maîtrisée avec brio : très nombreux changements, voire cassures de rythmes, styles très variés, qui s’aventurent parfois jusqu’à la dissonance, notamment pour ce qui concerne les six instrumentistes qui interviennent sur scène au cours du troisième acte. Solidement préparés par Benedict Kearns, les Chœurs et la Maîtrise de l’Opéra de Lyon amènent enfin leur contribution, pleinement satisfaisante des points de vue vocal et du jeu théâtral.”
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