La production d’Andrea Breth étonne par la sagesse de son classicisme, mais Ermonalo Jaho reste une Butterfly anthologique et Daniele Rustioni restitue toute l’intensité tragique de la partition de Puccini.
“...Daniele Rustioni propose un Puccini très dramatique, d’une grande intensité. Superbement clair aussi, décapé même, aux couleurs crues – quitte à esquiver un peu les abandons sensuels du duo d’amour. L’orchestre lyonnais est magnifique – au début de l’acte III, notamment.”
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